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C’est générationnel. Dans les imaginaires de Plan.Net France, il y a forcément pas mal de jeux vidéo. La faute aux plus jeunes de nos collègues pour qui les tous premiers contacts avec l’informatique se sont faits sur une console… voire carrément sur un smartphone.

Alors, parmi les jeux évoqués par nos équipes, peut-être reconnaîtrez-vous des titres qui, comme eux, vous ont tenu éveillé toute une nuit.

Nuits blanches devant l’écran

À tout gamer, tout honneur. Pour savoir ce que les jeux vidéo représentent réellement pour une partie de nos équipes, il faut s’imaginer Jean, encore petit garçon. Pour ceux qui le côtoient aujourd’hui, ce n’est pas forcément facile, mais son témoignage devrait vous aider :

Un souvenir. Un dimanche pluvieux de 1994. Mes parents pas dispos, La journée entière à jouer à Megaman 2…
Et le soir ? Impossible de m’endormir. Trop de temps devant l’écran, trop d’images du jeu dans la tête… Tout ça s’est terminé avec une douche froide pour me calmer !
Depuis, je ne passe jamais plus de 3 heures devant un jeu vidéo 😉

Jean – directeur de production

Oui, les jeux vidéo sont une passion pour certains d’entre nous. Et même carrément une expérience immersive. Vous rêvez de métavers ?

Vincent vous répondra qu’aucun sentiment d’immersion ne dépassera ses toutes premières parties de Doom :

J’ai le souvenir d’avoir acheté ce jeu pour pouvoir me défouler et exploser des monstres et démons à un rythme effréné.
Vendredi soir 22h je lance le jeu, pour me rendre compte que cette atmosphère sonore pesante et angoissante m’empêche d’avancer dans les couloirs couverts de sang et d’entrailles.
Défouloir garanti une fois les premiers niveaux terminés.

Vincent – chef de projet

Manette de Proust !

Mais pour d’autres, les premiers jeux vidéo, ce sont surtout les premiers après-midis entre copains devant l’écran de la TV. Pour Marion, c’était devant Crash Bandicoot :

Que de souvenirs ! Un des premiers jeux vidéo auquel je me rappelle avoir joué, entre copains, tous assis en tailleur devant la Game Cube, à nous passer religieusement les manettes après chaque niveau. Un agréable parfum de nostalgie quand on repense aux graphismes pixellisés et à la musique qui reste en tête.

Marion – cheffe de projet

Même madeleine, même souvenir, et même jeu pour Anaïs :

Crash Bandicoot, c’est peut-être l’unique jeu de Playstation auquel j’ai joué. Il aura occupé beaucoup de mes après-midis et de mes soirées de petite fille. Avec une pensée particulière pour le masque Aku Aku que je rêvais d’attraper à chaque niveau !

Anaïs – responsable Plan.Net Access

Les souvenirs et les sentiments ne doivent par être très différents pour Lucile quand elle évoque ses parties de Tomb Raider au début des années 2000 :

J’ai découvert les aventures de Lara Croft sur Playstation 1 début des années 2000 et j’ai continué de jouer à ses aventures depuis lors ! Cela m’évoque beaucoup de bons souvenirs : utilisations de gadgets en tout genre, premières cinématiques ingame, découverte de l’archéologie, mécanismes intriguant et autres énigmes, …
Un seul bémol qui me fait rire aujourd’hui : j’ai toujours eu une peur bleue de son majordome qui nous suivait partout dans son manoir comme un zombie, je n’ai jamais donc fini le jeu à 100% !

Lucile – cheffe de projet

Choc de générations

Et puis, dans ces imaginaires partagés, il y a les inévitables croisements de générations. Ainsi, Marion se souvient de la forte impression que lui ont laissé ses premières heures de jeu sur Prince of Persia :

J’ai le souvenir d’avoir été bluffée par les graphismes et l’aspect historique du jeu sur PS2, dans lequel on pouvait contrôler non seulement le personnage et ses actions, mais aussi la temporalité de l’histoire. Un tour de force des développeurs de l’époque dont tout le monde parlait à la récré !

Marion – cheffe de projet

Même souvenirs chez Matthieu ? Mêmes impressions en tout cas… même si on comprend bien vite que les jeux qu’ils évoquent sous le même titre ont quelques… quinze ans d’écart.

Le jeu auquel je jouais en arrivant chez mes grands-parents, sur le vieil ordinateur MS DOS de mon grand-père. C’était finalement assez étonnant de trouver un jeu aussi graphique (tout est relatif) après avoir dû le démarrer en ligne de commande !

Matthieu – lead dev

Et puis, s’il faut parler de choc de génération, que penser du témoignage de Jonathan ?

Snake est LE jeu que toute ma classe de seconde avait installé sur sa super calculette Texas Instrument. On se sentait comme des hackeurs qui auraient réussi à pirater un logiciel et outrepasser les règles du lycée. Un très bon souvenir en somme. Bien sûr, ce jeu ne nous a pas aidés à avoir le Bac !

Jonathan – chef de projet

Et vous ? Quel est le jeu vidéo qui a failli vous faire louper votre bac ?

Envie de plonger dans d’autres références de notre Pop Culture ? Prenez le temps de parcourir les imaginaires de Plan.Net France, il y a fort à parier que vous y reconnaîtrez certains des vôtres ! https://nosimaginaires.plan-net.fr



Il n’y a pas de surprise ! La science-fiction est l’un des genres les plus populaires du cinéma actuellement, et c’est sans conteste le genre qui a le mieux défini notre relation au monde numérique qui nous entoure. Et les équipes de Plan.Net France ne font pas exception à ça !

À l’agence, quand on s’est interrogé sur nos imaginaires numériques, beaucoup de films de science-fiction ont été cités. Des grands classiques et quelques pépites oubliées, voire quelques scènes décalées auxquelles on n’aurait pas immédiatement pensé. On y croise des robots, des hackers, des ordinateurs et des intelligences artificielles, des cuisines automatiques et des vaisseaux spatiaux.

Bienvenue dans l’imaginaire cinématographique de Plan.Net France !

Réviser ses classiques

À tout seigneur, tout honneur. Difficile de parler de notre relation au numérique sans invoquer le terrifiant HAL de 2001, l’Odyssée de l’Espace de Stanley Kubrick (1968) ou les réplicants chassés par Deckard dans le Blade Runner de Ridley Scott (1982).

Les deux films sont culte pour plusieurs personnes chez Plan.Net, notamment François, notre directeur conseil :

« Impossible de dire du mal de Blade Runner avec moi ! Ce film dit tout de notre relation aux machines et a inventé la science-fiction moderne au cinéma. On dit qu’avant Blade Runner, le futur était blanc, et qu’après il est devenu tout noir. Il est devenu aussi nettement plus intrigant ! »

François – directeur conseil

Ou encore Pierre-Emmanuel, le directeur général de l’agence :

« Outre une esthétique glaçante d’intemporalité, 2001 est un film qui aurait eu, pour moi, deux grandes vertus. La première, raconter une histoire comme il le voulait, sans tout dire, sans tout signifier à coups de surligneur. La seconde, dépeindre une intelligence artificielle qui, quand elle s’éteint, chante une chanson. On peut raconter librement, connecter comme on l’entend et, bientôt, les ordinateurs, eux aussi, auront besoin de chanter pour se rassurer. »

Pierre-Emmanuel – directeur général

Et on vous passe les citations de Matrix (Les Wachowski en 1999), de Ghost in The Shell (Mamoru Oshii en 1995) ou de Terminator 2 (James Cameron en 1992) par Thibault, François et Jean. Oui, nos imaginaires font la part belle aux classiques, voire aux grands classiques ! Pour Nicolas, directeur Innovation et Qualité dans nos bureaux rennais, on peut même remonter à 1927 pour comprendre la façon dont nous cohabitons avec les algorithmes. Pour lui, LE film de référence est le Metropolis de Fritz Lang :

« Ok, un film noir & blanc muet de 1927, c’est pas ce qu’il y a de plus accessible. Mais je le recommanderai sans problème aux générations Y, Z ou Alpha. Metropolis a préfiguré avec un siècle d’avance de nombreux aspects de nos vies modernes connectées et a également marqué à jamais notre vision des robots et de l’intelligence artificielle. »

Nicolas – directeur innovation et qualité

Représenter les ordinateurs

Mais loin des robots, de nombreux films décrivent également notre relation à l’outil informatique. Comment utilisons-nous, discutons-nous, travaillons-nous avec nos ordinateurs ? On pense, comme Kristell notre directrice commerciale, à la relation nouée par Joaquin Phoenix avec son système d’exploitation dans le Her de Spike Jonze (2014) :

« Est-ce que ce film est une comédie romantique ? Je n’en suis pas certaine, surtout que l’un des personnages est un programme informatique. Et pourtant on s’identifie… Est-ce que nous sommes réellement prêt à tomber amoureux d’un système d’exploitation ? L’intelligence artificielle pourrait-elle guérir les blessures ? Un amour préprogrammé pourrait-il éviter les cœurs brisés ? Qui sait… »

Kristell – directrice commerciale

Goldeneye - 1995

Mais on découvre également des références moins évidentes. Marc, directeur de production, évoque ainsi un épisode de la série des James Bond : Goldeneye (1995, Martin Campbell). Ici, c’est Pierce Brosnan qui incarne le célèbre agent et qui doit affronter la menace d’un piratage informatique mondial :

« »C’est ce film qui m’a fait comprendre qu’un jeune geek au fin fond d’une station en Sibérie était capable de hacker un radar situé à l’autre bout du globe.

Tout mon respect des développeurs doit venir de là. » 

Marc – directeur de production

Même regard de la part de Lucile, chef de projet, devant les écrans des ordinateurs de Jurassic Park (Steven Spielberg, 1993).

« Sorti l’année de ma naissance, c’est au début des années 2000 que je découvre ce film pour la première fois. Consciente que ce film datait déjà un peu, je me souviens avoir réalisé pour la première fois à quelle point la technologie avançait vite et deviendrait omniprésent dans le futur.

La scène qui m’a le plus marqué est notamment celle ou Judy, la petite fille de mon âge, s’exclamait devant l’ordinateur «  »C’est un système Unix! » » et réussissait à fermer des portes à distance.

Avec le recul, il est bien possible que ce moment ait été un tournant m’encourageant à poursuivre ma curiosité envers l’informatique et le digital. »

Lucile – chef de projet

De là à penser que le film à inspirer une vocation, il n’y a qu’un pas !

Rire du numérique ?

On pourrait encore citer de nombreux films invoqués par nos équipes : le Wargames de John Badham sorti en 1983 – sans doute le premier piratage informatique à faire l’objet d’une véritable histoire sur grand écran – ou encore Retour vers le futur II (Robert Zemeckis en 1989) dont certaines scènes préfigurent notre relation actuelle au télétravail.

On gardera, par tendresse, une toute dernière citation. Celle d’un M Hulot cherchant à apprivoiser une cuisine automatisée dans le Mon Oncle de Jacques Tati (1958). Un film cher à Pierre-Emmanuel :

« Mon oncle c’est le zeste de citron dans le blanc en neige de nos vies numériques. Une cafetière incassable brisée, un placard à jamais ouvert, un canapé mis sur le côté pour dormir sur une courbe décorative bien plus confortable que l’assise de départ. L’amour de Tati pour le monde tel qu’il va clopin-clopant peut nous rassurer dans un univers de plus en plus prédictif. À chaque IA son M. Hulot. »

Pierre-Emmanuel – directeur général

Plus de cinquante ans après, il nous semble plus que jamais important de conserver le même humour tendre face à la technologie !

Les films de Plan.Net France

  1. 2001, l’Odyssée de l’Espace de Stanley Kubrick 
  2. Retour vers le Futur II de Robert Zemeckis
  3. Blade Runner de Ridley Scott
  4. Ghost in the Shell de Mamoru Oshii
  5. Goldeneye de Martin Campbell
  6. Her de Spike Jonze
  7. Interstellar de Christopher Nolan
  8. Jurassic Park de Steven Spielberg
  9. Matrix des Wachowski
  10. Metropolis de Fritz Lang
  11. Mon Oncle de Jacques Tati
  12. Robocop de Paul Verhoeven
  13. Star Wars IV – Un Nouvel Espoir de Georges Lucas
  14. Terminator 2 de James Cameron
  15. Tron de Steven Lisberger
  16. Tron, l’Héritage de Joseph Kosinski
  17. Wargames de John Badham

Envie de plonger dans d’autres références de notre Pop Culture ? Prenez le temps de parcourir les imaginaires de Plan.Net France, il y a fort à parier que vous y reconnaîtrez certains des vôtres ! https://nosimaginaires.plan-net.fr